Le boosteur naturel de vos céramides

Crème et lotion pour le corps, CERABEST est une solution naturelle pour préserver l’intégrité de la barrière cutanée et une peau saine. Ses principes actifs favorisent la prévention ou la réparation des états inflammatoires en relation avec la sécheresse cutanée.

Boosteur naturel de céramides, CERABEST permet également à la peau de mieux résister aux changements liés à l’âge

La formule originale DermaACB™ agît sur le microbiote de la peau

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La peau révèle notre bien-être

un organe à part entière

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Les céramides
c’est quoi ?

le bouclier protecteur de la peau

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Le bon équilibre en céramides

causes et conséquences sur la peau

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Une formulation exclusive de bactéries au cœur du mécanisme d’action

DermaACB™

La formulation de CERABEST contient un ingrédient actif exclusif, le DermaACB™ dont l’efficacité à a été cliniquement prouvée. Son mécanisme d’action repose sur l’association synergique d’une souche probiotique S. thermophilus et d’argile. S. thermophilus est connu scientifiquement pour sa capacité à augmenter naturellement le niveau de céramides dans l’épiderme et pour ses effets bénéfiques sur la peau.

L’efficacité d’action de CERABEST est liée à son action endogène, c’est-à-dire sa capacité à générer chez l’utilisateur ses propres céramides. Cette action endogène est à différencier de l’action exogène de nombreux produits topiques existants, dans lesquels sont incorporés des céramides naturels ou synthétiques qui seront absorbés par la peau lors de l’application.

Céramides endogènes ou exogènes, un mode d’action non comparable

Par son action endogène, CERABEST stimule en profondeur l’autoproduction de l’ensemble des céramides contenus dans la peau. Cela concerne les 7 sous-types de céramides naturellement présents dans les 4 couches de l’épiderme, qui assurent à la peau son hydratation et son élasticité.

Les céramides exogènes présents dans certains produits topiques de ne peuvent fournir à la peau que certains types de céramides. Cela s’explique par l’incapacité de ces céramides à franchir les couches profondes de l’épiderme. L’action superficielle de ces produits ne peut ainsi permettre la réparation en profondeur de l’épiderme.

La peau, un organe à part entière révélateur du bien-être

Notre peau n’est pas une simple enveloppe, mais un organe sensoriel riche en terminaisons nerveuses. Barrière protectrice efficace contre les agents pathogènes, elle a une fonction thermorégulatrice grâce aux glandes sudoripares qui la constituent. Elle draine également les toxines, ce qui en fait un organe émonctoire au même titre que le foie ou le rein.

Vis-à-vis du monde extérieur, la peau fait partie de notre identité. A ce titre elle en dit long sur nous-même. Elle est révélatrice de notre santé, de notre bien-être, de nos états d’âme et tout déséquilibre s’exprime de façon visible : rougeurs, déshydratation, inconfort et démangeaisons sont alors au rendez-vous.

Heureusement, la peau dispose de mécanismes naturels de protection lui permettant de faire face aux agressions. Les céramides, famille de lipides naturellement présents dans notre épiderme jouent de façon efficace ce rôle protecteur.

Les céramides, bouclier protecteur de la peau

Une peau saine est à la fois souple et résistante. Elle est imperméable aux agressions extérieures mais aussi perméable juste ce qu’il faut pour permettre les échanges nécessaires à son équilibre.

Tout cela est possible grâce aux céramides, lipides cireux présents dans les quatre couches de l’épiderme. Les céramides sont en effet comparables à un liant permettant de solidariser les cellules de la peau les unes aux autres. Ils contribuent ainsi à constituer une barrière cutanée résistant à tous types d’attaques : les germes et bactéries sources d’infections et de maladies, la pollution, ou encore les stress environnementaux, …

Lorsque les céramides sont en nombre suffisant au sein de l’épiderme, tout se passe bien, la peau est saine et lumineuse. Malheureusement, les céramides peuvent parfois faire défaut et ne plus jouer leur rôle protecteur pour des raisons physiologiques ou pathologiques. Ces faibles niveaux de céramides engendrent alors des troubles dermatologiques.

Déficit en céramides, causes et conséquences

Les causes d’un déficit en céramides sont nombreuses. En effet, notre âge, notre hérédité, notre vulnérabilité à certaines maladies, certains traitements thérapeutiques ou encore des expositions répétées à des agressions extérieures jouent dans notre capacité à mobiliser les céramides protecteurs de notre peau.

Les conséquences liées à l’âge :

  • Dès 25 ans environ, l’épiderme s’appauvrit en céramides. Progressivement la peau perd en élasticité et éclat, les rides apparaissent, une sensation d’inconfort s’installe liée à la déshydratation et la sécheresse cutanée.
  • Mais le nourrisson est également concerné par un faible niveau de céramides. En effet, la barrière cutanée, incomplète à la naissance, atteindra sa maturité lorsque la concentration en céramides sera suffisante. L’érythème fessier si commun au nouveau-né est une des conséquences de ce processus de maturation non abouti.

Les conséquences liées à l’hérédité :

  • Certaines familles sont prédisposées de génération en génération à des problèmes de peau chroniques. Il peut s’agit de dermatite atopique, d’allergies, d’eczéma, de psoriasis. Une sécheresse cutanée, un processus inflammatoire, des desquamations, d’intenses démangeaisons sont alors observés à l’occasion des poussées. Les études cliniques établissent une corrélation entre une pauvreté en céramides et la sévérité de la crise.

Les conséquences liées à certaines pathologies :

  • Les maladies générales peuvent occasionner une sécheresse cutanée. C’est le cas, par exemple, du diabète, des troubles thyroïdiens, de l’insuffisance rénale. En marge de leur pathologie, les personnes concernées par ces troubles doivent alors faire face à un inconfort nouveau, lié à une sécheresse excessive de la peau et à des démangeaisons.

Les conséquences liées à certains traitements thérapeutiques :

  • Une peau sèche et sensible peut également être un effet secondaire de certains traitements. Les diurétiques, les chimiothérapies, certains antibiotiques sont les traitements médicamenteux susceptibles de provoquer ce désagrément. La radiothérapie en traitement local, peut par ailleurs agresser la peau en occasionnant des sensations de brûlures ou d’irritation sur la zone traitée. Enfin, les traitements au laser, de plus en plus utilisés en médecine esthétique pour atténuer le vieillissement naturel, génèrent une inflammation temporaire de l’épiderme.

Les conséquences liées à des facteurs environnementaux :

  • Les habitudes de vie impactent également la bonne santé de la peau. Les conditions climatiques, l’usage répété de produits irritants, une nourriture mal équilibrée, la pollution sont autant de facteurs favorisant les déséquilibres en céramides, avec pour conséquence l’inflammation et le dessèchement de l’épiderme.